Ma cabane au Kosovo

légende

Ah qu'elles sont jolies les bombes de Jamie Shea! Laï laï laï laï laï laï laï laï laï laï…

Si j’ai déclaré la guerre à la Serbie, en 1999, c’est avant tout en souvenir de ma grand-mère maternelle.

En 1940, pendant l’exode, Mamie Juju avait dû fuir, comme tant d’autres Français, devant l’armée du Reich. Sur le chemin de terre boueux qui la conduisait à Vichy, pour une cure thermale bien méritée, elle s’est malencontreusement pris le pied dans une racine et s’est rétamée de tout son long dans la gadoue. Personne ne s’est arrêté pour lui porter secours; elle a dû se relever toute seule, malgré ses rhumatismes, non sans avoir salopé sa belle robe du dimanche.

Cet épisode a laissé un profond traumatisme dans ma famille. De peur que je ne rate ma scolarité, ma mère ne m’a raconté cette histoire que le jour de mes vingt ans.

C’est en souvenir de cette brimade qui préfigurait la rafle du Vél d’Hiv’ que, devant la longue file des réfugiés kosovars fuyant les soudards serbes, j’écrivais dans Charlie, le 15 mai 1999: “Aujourd’hui, celui qui n’est pas, ne serait-ce qu’une seconde, une petite grand-mère à bout de force, allongée dans la boue en travers du chemin, celui-là n’a rien compris au monde qui l’entoure.”

A contrario je peux dire que c’est un peu grâce à Mamie Juju, à qui je pense souvent, si, de mon côté, j’ai tout compris au monde qui m’entoure.

Il est vrai que pour moi, la Seconde Guerre mondiale est un horizon indépassable: c’est bel et bien la matrice de ma philosophie anti-totalitaire. Dès qu’un problème survient quelque part, j’ai un truc incroyablement efficace pour savoir ce qu’il faut en penser: je remplace le sujet de la phrase par juif, par nazi, par collabo ou encore par Munichois, selon les cas, et là, abracadabra: les pièces du puzzle vont se ranger toutes seules à leur place et je peux alors pondre un de mes célèbres éditos vengeurs. Pour le Kosovo, ça a très bien marché, comme en témoigne cette saillie du 31 mars 1999:

“Lisons un journal, en remplaçant ‘Kosovar’ par ‘juif’. Les troupes de Milosevic organisent des pogroms, détruisent les villages, assassinent les hommes, et contraignent à l’exode femmes et enfants juifs. Qu’est-ce qu’on fait, on intervient, ou pas? Ah, je sens un flottement, même parmi les pacifistes. À part les équivalents de Céline, de Drieu La Rochelle et des communistes solidaires du pacte germano-soviétique, on décide fermement qu’on ne peut pas laisser faire ça.”

Vous avez compris le truc? Essayez chez vous, vous verrez: avec ma méthode, l’intelligence est désormais à portée de toutes les bourses.

Comme tout le monde n’a pas eu la chance d’avoir Mamie Juju pour grand-mère, il s’est bien sûr trouvé quelques pacifistes bêlants (des Munichois), une poignée de rouges-bruns nostalgiques de la grande Serbie (des collabos) et quelques antiaméricains judéophobes (des néonazis) pour suggérer que ce déluge de bombes sur la Serbie n’avait pas lieu d’être, que pas le moindre génocide ne menaçait les Kosovars et qu’il fallait vraiment se montrer flemmard et grégaire comme un éditorialiste parisien pour sauter à pieds joints dans la propagande éhontée de Jamie Shea, le porte-parole de l’Otan.

Mais j’ai tenu bon. De jour comme de nuit, j’ai balancé mes bombes à fragmentation éditoriale sur les lignes ennemies jusqu’à la victoire finale. Charlie y a perdu au passage quelques milliers de lecteurs, mais c’est bien peu de choses par rapport à ce que j’y ai moi-même gagné: le respect des gens qui font avancer le monde, de Dany Cohn-Bendit à Alain Duhamel, en passant par BHL ou Claire Chazal.

De toute façon, ça faisait longtemps que je souhaitas abandonner à Emmaüs mes derniers oripeaux gauchistes afin de me vêtir de neuf, et de pouvoir enfin élever mon regard au-delà de l’horizon simpliste qui est le lot quotidien des pauvres d’esprit situés à la gauche du PS: anticolonialisme = bien; libéralisme = mal, et autres fadaises binaires pour adolescents attardés. À mes yeux, “un intellectuel qui pense que le monde est simple manifeste son abandon du débat d’idées pour l’adhésion à une idéologie.” Et toc!

Alors, en 1999, j’ai fait le grand saut: j’ai divorcé d’avec la gauche de la gauche. Dans l’euphorie de ma nouvelle vie qui commençait, c’est à peine si j’ai prêté attention aux piqûres bénignes des quelques moustiques staliniens aigris qui s’en offusquaient – je fais ce que je veux, d’abord, on est en République!

Tiens, La Vache folle, par exemple. Exhumons, à l’intention des jeunes génération, l’article lamentable publié par cette feuille de chou écolo-munichoise, heureusement disparue depuis…

VAL T’EN GUERRE

Comment le rédacteur en chef de “Charlie Hebdo” a tenté de faire du journal satirique une brochure de l’OTAN.

La guerre au Kosovo inspira à Philippe Val une idée: “Réfléchir au moyen de subvertir abruptement les apparences afin d’apercevoir un bout d’une réalité qui dérange les certitudes” (1). La subversion, en effet, fut abrupte. Deux mois durant, il emprunta aux gramophones de la pensée militaire les raisonnements les plus foireux. Sa thèse: tout opposant à la guerre serait au mieux un ennemi de la démocratie, au pire, un nostalgique du IIIe Reich.

Premier acte, “aucune autre solution n’est envisageable” et “toute discussion sur ce point est vaine” (14 avril). Prétendre le contraire comme l’extrême gauche, les intellectuels de la gauche “radicale”, ou bon nombre de militants verts, équivaudrait à “abandonner les Kosovars” et à “défendre les agissements d’un État malade du nationalisme” (7 avril 1999). Basé sur un faux dilemme, taillé en pièces par les faits (2), ce cadre de pensée inspiré par l’Alliance sera recuit par la presse dite de gauche tout au long du conflit. Val apportera d’ailleurs sa perle aux chapelets d’autocongratulations qui, comme de sous la queue d’un âne (3), sortent des plumes éditorialisantes: “Les journalistes, échaudés par Timisoara, la guerre du Golfe et le débarquement en Somalie, font bien attention à ne pas faire de ‘propagande’ pour un camp ou pour l’autre. D’ailleurs, même l’état-major de l’OTAN ne cesse – et tant mieux – de reconnaître ses erreurs de bombardements. On en est à six ‘bavures’”, se félicite-t-il le 5 mai, reprenant en chœur les pitreries de Jamie Shea, propagandiste en chef de l’OTAN dont les mensonges seront mêmes dénoncés par Reporters sans frontières.

Cette formidable “démocratie” américaine
Acte 2, les bombardements seraient forcément justes puisqu’ils sont décidés par des démocraties au nom des valeurs qu’elles sauraient si bien appliquer chez elles. Car pour Val, dans les pays occidentaux, “en cas d’abus de la violence dont l’État a le monopole il y a des recours, il y a l’opinion (4), il y a une presse libre, il y a un système d’appel aux décisions des tribunaux” (19 mai). Les victimes des violences policières, les sans-papiers livrés à l’arbitraire judiciaire et détenus dans des conditions inhumaines, seront contents de l’apprendre. Un problème subsiste toutefois: la “guerre humanitaire” est conduite par les États-Unis, leader mondial des prestataires de services dictatoriaux. Soucieux de désamorcer la suspicion légitime de ses lecteurs, Val entame une pitoyable plaidoirie: “En Amérique, lorsque les droits de l’Homme sont bafoués, c’est que le pouvoir a transgressé la loi.” En somme, pourvu qu’ils naissent libres et égaux en droits, les hommes peuvent bien finir sur la chaise électrique ou dans les pénitenciers où sont enfermés en masse, et en toute légalité, les pauvres et les Noirs.

Acte 3 : tout refus de célébrer la “démocratie” américaine serait symptomatique d’inclinations néonazies. Pour nouer cette grosse ficelle au cou des réfractaires, Val convoque successivement Montaigne, Berl, Proust, Einstein, Galilée, Charles Trénet, et explique: “L’antiaméricanisme qui ressort en ce moment sent le gaz. Au sinistre ‘plutôt Hitler que Blum’ répond, toutes proportions gardées, le non moins sinistre ‘plutôt Milosevic que Clinton’.” Ainsi, les anti-impérialistes seraient mus par “la haine de la démocratie et l’antisémitisme”. Argument massue: “Il y a plus de Juifs aux États-Unis qu’en Israël, pas vrai?” (28 avril). Parti trois semaines plus tard enquêter aux USA, Philippe Val redécouvrait que vue de près, la “démocratie” américaine le faisait gerber.

Les lumineux sentiers de la gloire médiatique
Au cours de ces mois d’ébriété belliciste, le rédacteur en chef de Charlie utilisa ou cautionna les méthodes les plus douteuses. Le 5 mai, l’hebdomadaire publie un courrier de dénonciation comparant Daniel Mermet (animateur de l’émission de radio “Là-bas si j’y suis”) aux speakers des années 1930 qui laissaient “trois minutes pour Hitler, trois minutes pour les Juifs”. Sa faute: avoir donné la parole à une journaliste serbe. N’ayant pas jugé utile une écoute préalable de la bande incriminée, Val dut publier un rectificatif la semaine suivante. En interne, Charb, principal opposant à la “ligne Val” n’est pas épargné: le dessinateur Riss assimile son discours à celui de Philippe Henriot, journaliste collabo sous l’occupation (19 mai).

Décidément riche en surprises, ce numéro consacre aux Balkans un supplément bourré d’informations jusque-là censurées par les médias: des témoignages et des photos de réfugiés Kosovars dans un camp en Macédoine, doublés d’un reportage de Val et Wolinski en Grèce. À les lire, les Macédoniens seraient un ramassis d’égoïstes, racistes et proserbes; les Grecs formeraient quant à eux un peuple de disneyphiles décérébrés aussi enclins à défendre Milosevic qu’à danser le sirtaki. Journal de lutte contre l’extrême droite, Charlie répandait sans scrupule une coulée de poncifs xénophobes.

Où s’arrêtera la normalisation ?
Le 9 juin, Dominique Voynet, représentante du pouvoir en place, faisait irruption par courrier dans les colonnes “libertaires” pour arbitrer une querelle interne en faveur de Riss, dont une brève précisait qu’il animait le soir même un meeting des Verts. À propos de la guerre, la ministre déclarait se retrouver dans les positions de Philippe Val. Lequel, hasard extraordinaire, se fendait quelques pages plus tôt d’un vibrant appel à voter Cohn-Bendit. “Laisser le monopole de l’éthique à BHL relève de l’aveuglement”, écrivait Val le 19 mai. Qu’il se rassure, le marché des intellectuels de cour est ouvert. Il suffit pour y entrer d’investir quelques reniements. Mais si son besogneux bachotage l’autorise à sortir de L’Encyclopédie, peut-être sursautera-t-il à cette réflexion de Swift: “L’ambition souvent fait accepter les postures les plus basses: c’est ainsi qu’on grimpe dans la même posture que l’on rampe.”
Pierre Rimbert
Dessin : Gros

1. Philippe Val, “À la recherche du Kosovar perdu”, Charlie Hebdo, 28 avril 1999. Pour les citations suivantes de Val dans Charlie, on n’indiquera que la date de publication.

2. Accélération des déplacements de population, ferveur nationaliste en Serbie.

3. Laurent Joffrin, rédacteur en chef du Nouvel Observateur, excelle à cet exercice. Lire La Vache folle, n°22, p. 7.

4. Ah bon ? Val n’écrivait-il pas dans son édito du 5 mai 1999: “Le paradoxe de la démocratie, c’est que l’opinion – en tant que sa rentabilité est mesurable à la dose d’erreur dont on la nourrit – en est l’épouvantable limite”?

Article paru en juin 1999.
© La Vache folle, 1999, via presselibre.net

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11 Réponses to “Ma cabane au Kosovo”

  1. spino-for-ever Says:

    mon cher Philippe,

    je constate avec inquiétude que ton séjour en Ardèche ne t’a guère ragaillardi…

    Au lieu de pleurnicher sur les vilenies de tes détracteurs, reprends-toi !

    Vide cul-sec un grand verre de Vittel-cassis, fais le vide dans ton crâne – au besoin tire une latte sur le gros joint de ton bassiste… et lache-toi, bordel !

    L’ennemi est à nos portes ! L’affreux Siné et ses hordes gloupinesques vont, tels des Attilas de papier barbares et sanguinaires, déferler sur tes parts de marché ! Tes dividendes vont fondre comme la banquise sous les assauts du Marché (béni soit Son nom) ! Frère Charb est à deux doigts de retourner (encore!) sa chasuble ! Ressaisis-toi nom de Dieu !

    Tu veux vraiment que tout parte en couilles ?

    amicalement

    Spino

    ps : excuses-moi pour les « couilles », ça m’a échappé…

    ps2 : as-tu remarqué comme le distributeur de TON film ssssssssublîîîme C’EST DUR D’ÊTRE AIMÉ PAR DES CONS la met un peu en veilleuse, côté promo? Est-ce que par hasard les salles de ciné prétendument « Art et essai » et à ce titre grassement gavée de fonds publics, toutes ou presque acquises à la cause islamo-trotsko-alter-nazie, se feraient pas un peu tirer l’oreille pour le programmer? Les programmateurs estimeraient-ils, ces caricatures d’imams, que ce n’est pas de l’Art ? Et d’abord, qu’est-ce qu’ils y connaissent, au cinéma ? Hein ?

    ps3 : à ce sujet, as-tu lu l’articulet anonymement signé JMF dans l’immonde mensuel LES CAHIERS DU CINÉMA, digne des pires feuilles d’extrême droite des années 30 ? Ca ricane, mais ricanera bien qui ricanera le dernier !

  2. Jean-Pierre Martin Says:

    Cher Monsieur V, sachez que je vous rejoins totalement dans votre combat, j’avais d’ailleurs moi-même publié un « coup-de-gueule » en ce sens, en l’honneur du trop méconnu Karadzic qui avait osé défier les pacifistes en désislamisant son pays :

    http://onsefechier-anatic6.blogspot.com/2008/08/arrestation-de-karadzic-le-sarkozysme.html

  3. philippeval Says:

    @ spino-for-ever

    Merci pour l’info sur les “Cahiers du Cinéma antisémite”. N’ayant rien vu passer à ce sujet dans mon fichier Edwige, je me mets en quête de ce torchon et je les traînerai devant les tribunaux – islamiques, s’il le faut!

    Quant à la sortie de mon film, vous avez bien raison, il y a comme qui dirait une certaine pudeur promotionnelle que je ne m’explique pas vraiment.

    Je suis bien censé participer à une projection débat le 18 septembre à Montreuil (cette ville où s’entassent tous ces Maliens en keffieh rouge – comme le sang – et ces femmes voilées venues du lointain Orient), au Méliès, mais j’ai trop peur d’y subir un attentat terroriste pâtissier malgré ma protection rapprochée. Je crois bien que je vais demander un mot d’absence à Maman.

  4. philippeval Says:

    @ Jean-Pierre Martin,

    De mon côté, je vous lis régulièrement et me retrouve largement dans vos analyses, qu’elles soient géopolitiques ou économiques.

    Concernant les Balkans, je ne sais plus si c’est Camus qui disait que le “karadzisme est un humanisme” ou plutôt Sartre qui prétendait que “le sarkozysme est un karadzisme”…

  5. spino-for-ever Says:

    très cher Philippe,

    Je vais vous faire économiser 5,90 €. Non, non, ne me remerciez pas, c’est le moins que je puisse faire. Vous vous souilleriez les mains…

    Attention, c’est très court (encore plus court que la critique du film de Houellebecq) mais très dense (très dense avec les loups, d’ailleurs, dont l’invasion ne laisse à présent plus le moindre doute). Je me suis laissé dire que JMF ne serait autre que le rédacteur en chef du torchon autrefois honorablement connu sous le titre les Cahiers du Cinéma, aujourd’hui réduit à une pauvre édition sur papier glacé de la Minute Cinéma d’Al Jazeera, à jamais tricard j’espère sur les plateaux d’ARTE (si ton ami Daniel nous entend)…

    pardon d’avance pour d’éventuelles fautes de frappe.

    cordialement, et poliment,

    S.

    C’est dur d’être aimé par des cons
    (Daniel Leconte)

    Pendant et après la procédure intentée contre Charlie Hebdo suite à la reproduction des caricatures danoises anti-intégristes, Daniel Leconte a accompagné les principaux protagonistes de cette affaire qui, après avoir grandement mobilisé l’attention des médias, s’est terminée par la déconfiture des suppôts de la censure. Est-il possible que la volonté de témoigner d’un combat au service d’une liberté – celle de dessiner et de publier -, et donc de la liberté, donne lieu à un « film », enfin en tout cas à un truc audiovisuel aussi cadenassé, sûr de lui, dépourvu de tout questionnement et d’ailleurs de toute information? Si on souscrit au titre qui figure sur l’affiche, on y graffiterait volontiers qu’il est tout aussi dur que la liberté soit ainsi défendue par des caciques sectaires, ou que le cinéma soit parasité par qui à ce point le méprise.

    JMF

    ps: t’as vu Philippe ? J’ai réussi à ne pas caser le mot « couilles » dans mon post !!!!! Vive les Lumières !!!!!!

  6. Philippe Says:

    M. Val, je crois qu’on peut le dire sans crainte : Vous faites honneur à l’intelligence française. L’heure est grave, et les islamo-révolutionnaires gauchistes se gaussent de notre lâche passivité. Vous êtes le Jean Moulin des temps modernes. Votre âme est pure, votre courage est immense. Que pouvons-nous ressentir à votre égard, si ce n’est qu’admiration, et espoir de pouvoir s’élever à votre hauteur ? Mon cœur s’emplit de joie à l’idée de guerroyer à vos côtés, pour débusquer de sa tanière le fourbe mahométan, et lui faire rendre gorge. L’heure approche de la nouvelle croisade, et l’Occident peut être fier de compter en ses rangs de si preux chevaliers !

    Votre cher ami, Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon

  7. philippeval Says:

    Mon Vicomte,

    Je suis heureux de vous compter parmi mes lecteurs, même si nous convictions politiques divergent sur la question du taux de TVA à appliquer à la restauration. Comme je dis toujours, je préfère un Républicain à mon chat, mon chat à un islamo-gauchiste, un islamo-gauchiste à un musulman, un musulman à deux musulmans…

  8. FARID Y Says:

    C’est là qu’on reconnait les vrais trotsko-mondialistes sionistes !

    On soutient l’indépendance illégitime du Kosovo mais on refuse le droit des palestiniens à disposer d’eux mêmes…

    On soutient l’indépendance d’un pays illégitime qu’est le Kosovo qui est orchestré par les mondialistes afin de faire exploser l’état nation tant détesté par Val et Cohn-Bendit au profit de l’organisme supra-national européen, de l’énorme base américaine de Bondsteel et du trafic de drogue

    Pour Cohn-Bendit,c’est normal vu son rôle au sein des verts européens/Alliance Libre Européenne pour une europe régionaliste.
    http://www.voltairenet.org/article14960.html

    La vérité sur « l’indépendance du Kosovo » par Pierre Hillard
    http://mecanopolis.wordpress.com/2008/08/17/pierre-hillard-sur-la-manipulation-du-kosovo/

    Avez-vous une conscience pour manipuler les foules au quotidien ?

  9. ViveLorgane.com Says:

    J’espere que vous n’aurez pas votre place dans les bases souterraines illuminati (que le peuple reprendra par les armes), quand les hostilités auront débuté.
    Je vous souhaite de vous réincarner en loque humaine révulsant la dignité humaine (quoique vous n’en etes deja pas loin).

  10. Le blog de Madjid » Lettre ouverte à Charb. Says:

    […] de l’OTAN au Kosova étant évidemment l’épisode le plus gerbant, Charlie devenant un sous-traitant de l’OTAN, avec le lynchage de […]

  11. audition Says:

    audition

    Ma cabane au Kosovo | Le blog de Philippe V., éditorialiste martyr

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